Le Jour où j’ai perdu mon ombre
Damas, 2012 : l’hiver le plus froid que le pays ait connu. Sana, qui élève seule son fils de 8 ans, n’a plus de gaz pour faire la cuisine et chauffer la maison. Sa quête d’une bonbonne de gaz va la mener dans une zone assiégée des environs de Damas.
Après avoir réalisé quatre documentaires, Soudade Kaadan a choisi, avec ce premier long métrage de fiction, de s’éloigner de la réalité pour mieux la montrer. Un film métaphorique d’une beauté bouleversante.
Orizontti Venise (Prix Luigi De Leurentiis-Meilleur premier film) ; Festival International du Film de Toronto ; BFI Londres